CONCLUSION

   La controverse de l'introduction des activités ludiques en milieu scolaire n'était pas abordée d'une façon fréquente dans la presse nationale. Les articles qui en parlent sans rare, donc nous nous sommes basés, en plus, sur les articles scientifiques et les thèse de mémoire par lesquels ce sujet a fait couler beaucoup d'encre. Ce sont, surtout, les chercheurs et les spécialistes du domaine de l'éducation qui ont traité ce thème ; 55,6% d'eux parlent des jeux au milieu scolaire d'un langage de précaution et de réserve et que ces pratiques tendent parfois à engendrer l'échec scolaire. Pour Julian Alvarez : chercheur et concepteur de Serious Games, docteur en sciences de la communication et de l’information, parle d'une une forte probabilité de tomber dans ce qu’ils appellent la « pédagogie invisible », c’est-à-dire une pédagogie où les objectifs de savoirs ne sont pas clairement indiqués, et où la distinction entre savoirs scolaires et savoirs d’expériences est brouillée.

Tandis que 54,4% des spécialistes vantent les qualités de l'enseignement ludique et conseillent vivement l'introduction des jeux dans le milieu scolaire ; Éric Sanchez , est enseignant chercheur, responsable d'EducTice      " La motivation est l'argument le plus souvent utilisé pour introduire des situations ludiques (..) ils permettent l'autonomie. Les jeux sont en effet des espaces de liberté et de réflexivité".

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A travers l'analyse de cette controverse, il se manifeste clairement des questions de type : a quel point les activités ludiques utilisées par les enseignants sont-elles objectives et utiles ? et puisqu'il y a un nombre pas mal d'enseignants qui utilisent ces activités, n'est-il pas digne que le Ministère chargé du secteur organise des formations périodique en faveur des enseignants, et pourquoi pas l'élaboration d'un site ministériel comportant les ressources fiables, testées et expérimentées concernant l'enseignement ludique.

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